63 de ces permis concernaient la construction de bâtiments neufs et 85 représentaient des permis pour rénovation.

Pour ce qui est des permis de bâtir octroyés pour des nouvelles constructions, 57 concernaient des bâtiments à un seul logement et 6 portaient sur des bâtiments à appartements. Ces derniers représentaient 24 logements. Ces 63 permis ont été délivrés pour des bâtiments d’une surface moyenne de 344 m2, contre 366 m2 dans le Brabant wallon, 337 m2 en Wallonie et 368 m2 en Belgique.

Depuis 2004, on délivre à Court-Saint-Etienne plus de permis pour la rénovation de logements que de permis pour la construction de logements neufs. Sur la période 2016-2018, 42,6% des permis y ont été délivrés pour des logements neufs. Ce pourcentage était respectivement de 43,5% dans le Brabant wallon, 43% en Wallonie et 48,3% pour la Belgique. On constate sur le graphique les effets de la crise financière de 2008, principalement en matière de logements neufs.

Signalons, enfin que, toujours sur la période 2016-2018, 3 permis de bâtir ont été délivrés pour la construction de nouveaux bâtiments non-résidentiels, pour un volume global de 4.826 m3.

Réalisée en partenariat avec le Réseau brabançon pour le droit au logement (RBDL) et le Centre culturel du Brabant wallon (CCBW), cette exposition s’inscrit dans la reconnaissance de l’habitat léger comme solution valable et viable à la crise du logement ; une véritable transformation dans l’art d’habiter en réponse aux enjeux actuels de notre société. Son objectif : placer cette forme d’habiter et ses habitants sur le devant de la scène.

Destinée à toutes les personnes intéressées par la question du droit au logement mais aussi par la créativité et l’autoréalisation à l’œuvre dans l’habitat léger, l’expo photos « Habit, habitat, habité » est le fruit d’un groupe de travail mené par des habitants et des associations.

 Des habitants mis à l’honneur au travers de ces photographies à visage humain qui présentent une grande diversité de population. Leurs points communs : la mise en œuvre, par eux-mêmes, d’une solution aux problèmes du logement, de créativité, de « Do it Yourself », etc.

Roulottes, caravanes, yourtes, chalets et autres constructions légères en bois, paille et terre crue, anciennes serres ou encore « dômes géodésiques », voilà autant de variétés d’habitat léger, parmi bien d’autres.

Seules conditions pour être considéré comme tel, répondre à l’un des trois critères suivants : être démontable, déplaçable, d’un volume réduit, d’un faible poids, ayant un emprise au sol limitée, autoconstruite, sans étage, sans fondation et non raccordée aux impétrants.

Véritable enjeux de société, l’habitat léger répond non seulement à une crise majeure du logement mais aussi à des questions environnementales, sociétales et existentielles.

Entre 2013 et 2019, le RBDL en collaboration avec les citoyens, les associations et les universités ont mené, ensemble, un combat quotidien de mobilisation, d’analyse de la situation et d’interpellation politique pour la reconnaissance de cette forme d’habiter.

Un réel travail d’éducation permanente qui a permis la reconnaissance et l’intégration de l’habitat léger, notamment dans le Code wallon de l’habitation durable, qui dispose à présent d’une définition légale et d’une reconnaissance juridique.

Bref, une exposition au cœur de notre actualité.

1. Intégration de nouveaux logements dans leur environnement 

- Maison VC à Grez-Doiceau

- Maison Marina à Ittre

2. Intégration de logements rénovés et/ou agrandis dans leur environnement 

- Maison Anvipar à Jodoigne

- Maison Javaux à Lasne

3. Intégration d’infrastructures privées dans leur environnement 

- Résidence W. Lennox à Ottignies

4. Intégration d’équipements publics dans leur environnement 

- Centre du visiteur de l’Abbaye de Villers-la-Ville

- Crématorium de Court-Saint-Étienne

- Station d’épuration de Villers-la-Ville

5. Utilisation de matériaux novateurs et/ou de techniques innovantes 

- Siège social d’AGC Glass Europe à Louvain-la-Neuve

Réalisation : Krizia CERAULO, Architecte

Une publication menée à l’initiative du Brabant wallon, en collaboration avec la Maison de l’urbanisme du Brabant wallon 

Décembre 2019 © Le Brabant wallon

Contactez la Maison de l’urbanisme ou le Service de l’environnement et du développement territorial du Brabant wallon.

        297 mille euros, le prix de médian des maisons

       vendues à Court-Saint-Etienne en 2017

        265 GigaWatt-Heure, la consommation finale en énergie

       mesurée à Court-Saint-Etienne en 2015

     1.134 voitures particulières immatriculées

      à Court-Saint-Etienne en 2017

       898 élèves résidant à Court-Saint-Etienne scolarisés

       dans les établissements d’enseignement de la commune

                      au cours de l’année scolaire 2017-2018

       1.655 personnes résidant à Court-Saint-Etienne étaient

       âgées de 65 ans et plus le 1^er janvier 2018

       4.004 bâtiments résidentiels, occupés par 4.163 logements,

       étaient dénombrés à Court-Saint-Etienne en 2018

       67 Millions d’euros de crédits ont été contractés

       par 1.343 Stéphanois en 2018

       34 accidents de la circulation, comptant au moins un blessé léger,

       ont été constatés sur le territoire de la commune de Court-Saint-Etienne en 2018

        142 places d’accueil préscolaire ont été recensées

        à Court-Saint-Etienne le 1^er janvier 2018

        4.126 ménages privés étaient enregistrés à Court-Saint-Etienne en 2018

En 2020, vous apprendrez, entre autres, combien de permis de bâtir ont été octroyés dans la commune. Vous serez incollables sur les rémunérations et allocations accordées aux Stéphanois et vous saurez tout sur les mouvements professionnels, ainsi que sur les mouvements migratoires intercommunaux des Stéphanois …

Vous pouvez également nous proposer vos chiffres, à condition que leur publication respecte les règles de diffusion statistique, entre autres en matière d’authenticité, de respect de la vie privée et de respect du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).

Ce nombre était de 75 en 2003, 121 en 2008 et 115 en 2013.

Sachant qu’en date du 31 décembre 2017, Court-Saint-Etienne comptait 282 enfants âgés entre 0 et 2 ans et demi, le « taux de couverture », soit le nombre de places disponibles pour 100 enfants en âge préscolaire. A la même date, le taux de couverture de l’ensemble du Brabant wallon était de 52,3% et celui de la Wallonie de 36,2%.

Globalement, ce taux de couverture s’est accru annuellement depuis 2003 de 1,8 points de pourcentage à Court-Saint-Etienne, contre 0,95 p.p. dans le Brabant wallon et 0,98 p.p. en Wallonie.

Sont comptabilisées ici les places d’accueil disponibles, quel que soit le type d’accueil (collectif ou familial) et le mode de subventionnement (milieux d’accueil subventionnés ou non). Les nombres de places repris sont les capacités réelles des milieux d’accueil, c’est-à-dire des nombres de places « ouvertes » (pour les accueillantes, il s’agit des places autorisées jusqu’en 2011, et des capacités réelles à partir de 2012). De plus, les places sous tutelle SAJ (Service d’Aide à la Jeunesse) ne sont pas incluses.

SOURCE/ WalSTAT – IWEPS Indicateurs 243800 et 243900 Accueil préscolaire des communes wallonnes.