• Courrier du Forum Stéphanois n°36 - avril 2012


    Courrier du Forum Stéphanois

    n° 36 - avril 2012

    Edito.

    Nous voici au numéro 36 de notre courrier. Ce nombre, synonyme de beaucoup, nous rappelle que nous avons déjà fait un bon bout de chemin. Chaque numéro nous donne à découvrir l'un ou l'autre aspect de ce petit monde que constitue l'associatif stéphanois.

    Le nombre de pages a augmenté au fil du temps, mais le lecteur averti saura rapidement faire le tri de ce qui l'intéresse.  

    La structure de ce courrier est simple avec en premier lieu les affiches des événements des prochaines semaines, suivies de l'agenda complet. Ensuite viennent les éventuels stages et formations, suivis enfin de l'un ou l'autre texte de fond, pour terminer avec les demandes de bénévoles.

    C'est d'ailleurs avec beaucoup de joie que nous avons appris que la demande de Hestia pour l'accompagnement d'une personne malade, parue dans notre dernier courrier a eu une réponse positive le jour-même de sa diffusion. Ceci constitue un réel encouragement pour l'équipe rédactionnelle. L'Association pour le Volontariat nous indique par ailleurs que la publication que nous faisons des demandes de bénévoles déborde largement les frontières de notre commune.

    Courrier 36

    Christian Pinon

  • Je lis dans ma commune 2012


    lis

  • Les contes du mondes


    les contes

  • En l'air


    En l'air

  • Le réveil horticole


    Réveil horticole

  • Grand marché aux vêtements


    vêtementsL'Association des Parents du Collège
    Saint-Etienne organise un :soleil

    GRAND MARCHE AUX VETEMENTS
    à Court-Saint-Etienne

     

    Où ?         Au Collège Saint-Etienne, avenue des Prisonniers de Guerre, 36.

    Quand ?       Le dimanche 22 avril 2012 de 10 à 13 heures.

    Comment ?  Les vendeurs peuvent réserver un emplacement du lundi au vendredi de 12  à 15h et le lundi après 20h en s'adressant à Mme  Pirotte au 0473/84.28.00 avant le 30 mars.

    Combien ?  5 € l'emplacement + 2 € si tringle.

    Quoi ?        Uniquement des vêtements d'enfants de 0 à 16 ans et matériel de puériculture.

    Ed. resp. Pinon Sophie AP   

  • Marche Adeps de 5 - 10 ou 20 Km


    Marche ADEPS

    (5, 10 et 20 km)

    organisée par le Pélécycle

     Dimanche 29 avril 2012

    Départ: Collège St-Etienne

    rue des Prisonniers de Guerre 36

    1490  Court-Saint-Etienne

    dès 7h00

    Bar et petite restauration

    toute la journée (jusque 18h00)

     Bienvenue à tous !

     

     

  • Projet du pélécyle août 2012


    Projets du Pélécycle pour août 2012

     

    Tu aimes l’aventure,

    Tu es prêt à partager une vie communautaire,

    Tu veux approfondir ta foi avec d’autres jeunes

    Et mettre tes pas dans ceux de Jésus-Christ…

     

    alors prends ton vélo  et  viens participer au pélécycle

     

    Pour les aînés à partir de 16 ans (2 au 22 août 2012)

    Route jusqu’au nord de l’Italie : Padoue, Venise, Fregona

    (1ère partrie d’une route vers la Terre Sainte et Jérusalem)

     

    Pour les plus jeunes à partir de 13 ans (2 au 7 août 2012)

    Route de Court Saint Etienne à Schönstatt (Allemagne).
    Les premiers jours sont communs pour tous

     

  • De Mozart à Sister Act


    Mozart

  • 4ème fête Kiwanis des enfants


    Fête Kiwanis des enfants

  • Les castors de la Thyle


     

    Savez-vous que Court-Saint-Etienne a l’honneur d’avoir été choisie comme lieu d’habitation par les castors ? L’un d’entre eux a élu domicile dans la Thyle, entre Suzeril et Faux.

     

    Si cela vous amuse de partir sur leurs traces, empruntez le sentier 103 à partir Suzeril  et vous verrez une succession de signes qui ne trompent pas : des arbustes grignotés en forme de crayon, exactement comme dans Yakari. Des arbustes, mais aussi des arbres. Le dernier à avoir été attaqué par cet ambitieux animal est un saule de 4m50 de circonférence !

    Consigne : mettez des bottes et n’emmenez pas la poussette.

     

    Voici l’itinéraire :

    Départ rue des Maçons, le long de la Thyle.
    Vous passez sous la RN25 en contournant un de ses piliers et suivez le tracé du sentier que nous avons délimité par des branches.

    Vous rejoignez le bord de la Thyle, passez un vieux pont de brique puis enjambez un petit ruisseau.

    A partir de là, soyez attentifs ! Le sentier passe sous des sapins mais si vous allez un peu vers la droite avant ces sapins, vous aboutirez au garde-manger du castor. En observant la couleur du bois coupé, on peut déterminer si ces grignotages sont plus récents ou plus anciens.

     

    Revenez sur vos pas, passez entre les sapins. Après le dernier sapin, tournez vers la gauche, vers la rivière : vous verrez le chemin qu’emprunte le castor pour sortir et rentrer dans la Thyle.

    Après cela, vous pouvez faire un concours à celui qui trouve le plus d’arbres mangés : il y en a partout et de toutes les tailles. On voit aussi d’autres passages de sortie de rivière.
    Un peu avant d’arriver à la prairie, regardez sur l’autre berge !

     

    En principe, les castors mangent les feuilles et les petites branches des arbustes ou des sommets des arbres. Ils doivent donc faire tomber des arbres pour arriver à leur nourriture favorite. Mais l’arbre ne tombe pas toujours comme prévu, comme vous le voyez.

     

     

     Continuez votre chemin dans la prairie, en longeant la rivière et vous verrez bientôt pourquoi je dis que c'est un castor ambition !

    Petite explication : en fin d’hiver, il n’y a plus de verdure à se mettre sous la dent et les réserves faites en automne sont épuisées. Alors les castors choisissent l’écorce d’un arbre tendre, par exemple, ce vénérable saule.

     

    Où se trouve leur terrier ? Nous ne l’avons pas trouvé, mais peut-être serez-vous plus chanceux que nous. Nous avons bien trouvé un ancien terrier : c’est un trou, que nous avons signalé en plantant quelques branches mortes tout autour.

    Une famille de castors est composée de Papa, Maman, le ou les grands nés l’année passée et le ou les petits nouveaux de l’année. Donc entre quatre et sept individus. Quand les jeunes ont deux ans, ils doivent partir conquérir un nouveau territoire : pas question de s’installer dans le domaine de ses parents. C’est ainsi qu’on en trouve maintenant dans la Thyle, à Court, Suzeril, Faux et Tangissart, ainsi que dans le Ry d’Hez. Il y en a aussi dans la Dyle.

    Malheureusement vous avez très peu de chance de les apercevoir car ce sont des animaux qui dorment durant la journée. Puisqu’ils sont actifs la nuit, si nous passons sur leur territoire, nous ne les dérangeons pas. Le castor avait disparu de nos contrées depuis cent ans et a été réintroduit en 1998-1999  dans toute la Wallonie à l'initiative d'associations. Il est une espèce protégée : plus question de le transformer en chapeau !

    Si vous voulez en savoir plus, regardez le beau documentaire qui se trouve à la Médiathèque: Le castor, les dents du fleuve, édition Montparnasse.

     

     

     

    Vermeer, L’officier et la jeune fille,1657

    L’officier porte le chapeau en castor,

    typique du XVIIème siècle hollandais.

     

     

    Isabelle Lamfalussy

     

     

  • Du Titanic à la fosse des Mariannes, par Court-Saint-Etienne


     

    James Cameron, réalisateur du film Titanic vient d’atteindre, ce dimanche 25 mars 2012, 10.898 mètres de profondeur dans la fosse des Mariannes, en solitaire. Il rejoint, presque, le record de Jacques Piccard et Don Walsh qui, 52 ans plus tôt, réalisèrent l’exploit de descendre jusqu’à 10.916 m le 23 janvier 1960.

    Mais comment un tel exploit a-t-il pu être réalisé il y a plus d’un demi-siècle, à une époque où les matériaux composites d’aujourd’hui, d’une résistance inouïe pour un poids minime, n’existaient pas? Seul l’acier, très lourd, permettait alors de résister aux formidables pressions qui règnent dans les profondeurs abyssales.

     

    Fin des années trente, un physicien suisse, chercheur et inventeur de génie qui ne craignait pas d’expérimenter lui-même ses inventions, imagina un vaisseau sous-marin capable de plonger vers les profondeurs océanes. Auguste Piccard, père de Jacques Piccard et grand-père de Bertrand Piccard, fondateur d’une dynastie de “savanturiers”, était alors professeur de physique à l’Université Libre de Bruxelles. Il venait, en 1931 et 1932, d’atteindre pour la première fois dans l’histoire humaine, la stratosphère à bord d’une nacelle suspendue à un ballon, aéronef de son invention pour lequel il avait imaginé aussi la cabine pressurisée. Il conçut alors un engin analogue pour explorer le monde sous-marin: une boule d’acier, très épaisse et donc très lourde, suspendue à un flotteur plus léger que l’eau qu’il remplit d’essence pour que la pression ne l’écrase pas. Le “bathyscaphe”, comme il le nomma, était né.

     

    La guerre arrêta ce projet mais dès la fin de celle-ci, avec l’aide du Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS), il fut décidé de construire le bathyscaphe. Le professeur Piccard choisit une entreprise de pointe dans la métallurgie pour façonner la cabine sphérique et son choix se porta sur les Usines Emile Henricot. En 1947, la “boule de Piccard” quitta les U.E.H. pour une longue série de plongées. Après bien des aventures et deux flotteurs, elle repose aujourd’hui au Musée de la Marine de Toulon.

     

     

     

     

     

     

     

    Le principe du bathyscaphe donna naissance à plusieurs vaisseaux et c’est à bord de l’un d’eux, le Trieste, construit en Italie sous la direction du professeur Piccard et racheté par la marine américaine, que son fils Jacques et le lieutenant de la Navy américaine Don Walsch  plongèrent dans la fosse des Mariannes où ils atteignirent la profondeur, toujours inégalée, de 10.916 m.

     

    Voilà pourquoi Court-Saint-Etienne, par sa rencontre avec Auguste Piccard, peut prétendre se trouver sur la voie qui conduisit à l’exploration des plus grands fonds marins. 

     

    Lors des Journées du Patrimoine en septembre prochain, nous espérons pouvoir vous raconter plus longuement cette extraordinaire aventure à laquelle Court-Saint-Etienne participa grâce au savoir-faire des Usines Emile Henricot.

     

    Le Patrimoine Stéphanois (MT)

     

  • Les Pionnies de Court-Saint-Etienne centre recherchent petits boulots


    pi

  • Une page est tournée, mais le livre reste grand ouvert.


    Voici dix ans que l’aventure de la Maison des Artistes a commencé avec la rénovation de la petite maison avenue Paul Henricot. Lieu sympathique et chaleureux ce fut le berceau des activités de notre ASBL depuis 2003, endroit plein de souvenirs et de belles rencontres.

    Mais l’histoire continue à évoluer et les propriétaires de la maison ont décidé de la vendre en 2012.

    Ce n’est pas pour autant la fin de notre modeste contribution à la vie culturelle de Court-Saint-Etienne, loin de là. La Maison des Artistes continuera à organiser les parcours d’artistes et les soirées littéraires, ses activités « phares » tant appréciées par bon nombre d’entre-vous.

    Il y a plusieurs lieux amis dans notre village qui sont prêts à nous accueillir pour telle ou telle activité – nous allons trouver avec eux de nouvelles formules de partenariat pour que le petit flambeau que nous avons voulu allumer continue à briller.

    Et nous ne quitterons pas la petite maison à façade jaune sans faire une fête pour dire dignement adieu et merci à ses murs si hospitaliers.

     

    Pierre, Brigitte, David, Claire, Jos, Jacqueline

     

     

  • Initiative « Centre de Court »


    L'an dernier, un appel avait été lancé à l'initiative de M. Koos. Cet appel porte sur différentes nuisances constatées telles que les inondations, le bruit, la mobilité. Une interpellation avait été faite auprès du Conseil Communal et un état des lieux a été rédigé. Le texte est disponible par simple demande à l'adresse suivante:

    centredecourt@edpnet.be

    Vous pouvez vous adresser à cette même adresse pour donner vos idées, commentaires, ou pour vous associer à cette initiative.

     

  • Diobass


    Hugues De Bolster nous écrit de Sart et témoigne d'un engagement de tous les instants en faveur de l'Afrique et du monde

    paysan qui se poursuit à travers ses activités au sein de Diobass, Ecologie et société et son réseau d'organisations paysannes en Afrique.

     

    Ses activités de soutien aux recherches-actions paysannes ou

    populaires se retrouvent tant au Burkina-Faso, au Sénégal qu'en

    République Démocratique du Congo.

     

    Sa stratégie de travail porte de beaux résultats en matière de changement social, de renforcement dans la prise de conscience collective et individuelle des capacités de changement dont

    chacun est porteur. Selon lui, les sociétés paysannes africaines

    recèlent nombre de savoirs et de potentiels de recherche insuffisamment exploités. Il importe de développer des recherches paysannes et de créer des synergies entre les connaissances

    modernes et traditionnelles.

     

    Le projet « Jeunes et Réhabilitation » (en acronyme JEREHA),  est  une action qu'il mène

    depuis 5 ans avec la plate-forme Diobass au Kivu en faveur des jeunes gens affectés par la guerre, et des communautés rurales.

     

    La démarche Diobass se fonde sur une analyse systémique et participative des réalités sociales, environnementales, agricoles ou techniques des populations autour de thèmes proposés par les organisations membres des plates-formes. Le questionnement est à la base de la démarche.

     

    Cette analyse se fait au cours d'ateliers de réflexion rassemblant les divers acteurs sociaux (hommes, femmes, jeunes, ...) concernés par la thématique. Trois grands objectifs :

     

    -Analyse de la thématique

    -Communication entre les différents acteurs mis en présence

    -Mise en place de la recherche-action

     

    Ces ateliers génèrent la constitution de groupes de Recherche-Action qui travaillent sur des thèmes spécifiques et concrets et cherchent des solutions. Les groupes de travail capitalisent les acquis dans de petites publications accessibles aux populations sous forme de fiches ou

    livrets en langues locales.

     

    Le responsable lance un appel en ce début d'année en vue de :

     

    - Faire un don au projet JEREHA

    - L'aider à démultiplier cet appel auprès de vos amis

    - Via une cotisation annuelle de 30 €, marquer votre sympathie pour les idées en devenant membre.

    - Donner un coup de main ponctuel

    - Introduire Diobass dans vos réseaux en vue d'organiser un débat ou une conférence

     

     

    Contact:

    Hugues De Bolster

    hugues.debolster@diobass.com

     

    Diobass, Ecologie et Société

    rue Laurent Delvaux, 13  

    1400 Nivelles

     

    067/21.44.80

    www.diobass.com

     

     

     

     

  • Festival "en l'air !"


  • Elections communales 2012


    Vous avez le souci de la chose publique ?

    Les partis politiques sont également des associations de personnes qui nous sont proches et qui souhaitent bâtir des projets ensemble pour notre société dans le cadre de nos institutions démocratiques. N'hésitez pas à les contacter pour vous informer, pour donner votre avis ou pour vous engager. 

    Contacts auprès des partis politiques:

    Les éventuels autres partis peuvent nous envoyer leurs contacts pour une prochaine publication.

    Mouvement Réformateur: www.mrcourtsaintetienne.be
    Sous l'onglet « équipe », vous trouvez les coordonnées des membres de l'équipe de Court-St-Etienne.

     

     

    CDH: www.lecdh.be/nous-et-vous/equipe/court-saint-etienne
    Sous l'onglet « équipe », vous trouvez les coordonnées des membres de l'équipe de Court-St-Etienne.

    Ecolo: www.court-saint-etienne.ecolo.be
    Les personnes de contact sont sous l'onglet « Qui sommes-nous? » et ensuite choisir « Nos élus communaux».

    Parti Socialiste: www.ps.be/Pagetype1/USC-Liste/COURTSAINTETIENNE
    Voir les contacts en page d'accueil.

     

     

  • « Centre de Court » Un appel lancé par Marcel Kroos.


    Action citoyenneEdito

    « Centre de Court »

    Un appel lancé par  Marcel Kroos.

     

    Depuis longtemps, je constate que les nuisances dans le centre de Court St Etienne augmentent de plus en plus. Plusieurs habitants, propriétaires ou locataires, ont d'ailleurs choisis d'aller habiter ailleurs.

    Après avoir vainement essayé d'obtenir des informations, j'ai décidé d'interpeller prochainement le Conseil Communal, en séance publique. Il est évident que plus nous serons nombreux plus il sera tenu compte de notre avis.

    Si vous souhaitez réagir concernant :

    • les inondations
    • les heures de fermeture d'un café/club
    • les festivités du parc à mitrailles, en particulier le Brabant Wallon Night avec Bob Sinclar.
    • les problèmes de circulation

     

    J'ai besoin de votre appui, ou mieux de votre présence au prochain Conseil Communal. Une première intervention a eu lieu le 4 juillet et la seconde intervention est demandée pour le mois de septembre.

    Vos remarques sont très vivement souhaitées.

     

    Afin de trouver un arrangement,  qui reste à préciser, début septembre, Monsieur Dister,  organisateur de la Brabant wallon Night avec Bob Sinclar au parc à Mitrailles le samedi 1 octobre 2011 souhaite connaître les personnes que ces nuits empêchent de dormir, comme lors de la nuit G.S.K. (prévue cette année le 23 septembre). Pour cela, j'ai besoin de vos coordonnées : nom, adresse ; mail ou numéro de téléphone et composition de la famille. J'imagine que vos  adolescents seront plus intéressés par des places gratuites que les parents, mais je peux me tromper !

     

    Contact:  centredecourt@edpnet.be

     

     

  • Restauration des toitures de l'église Saint-Etienne.


    ClocherAprès plusieurs années de gestation, ce projet sera mis en chantier très prochainement.

     

    Historique:

    Citée dés le XIIIème siècle, l'église Saint-Etienne conserve peut-être, dans les parties basses de la tour, certains vestiges de ses origines romanes. Elle fut totalement reconstruite vers la fin du XVIème siècle. De cette église gothique, subsiste une robuste tour carrée, jadis rythmée par deux cordons mais remaniée à maintes reprises. Nef et chœur furent rasés peu après 1773 et rebâtis en brique, pierre calcaire et pierre blanche, sous la forme qu'ils présentent aujourd'hui encore.