Edito.



Le monde associatif est par essence fondé sur des structures résilientes avec, souvent, une équipe de bénévoles pour principal « patrimoine ». Comme c’est le cas pour l’aide alimentaire, nous pouvons penser que les donateurs n’ont pas faibli leurs gestes de solidarité. Cette période qui se vit au ralenti pour la plupart des associations est aussi une occasion pour nombre d’intervenants de faire une pause, de prendre du recul, de se repositionner par rapport à leurs engagements. 

Chaque époque permet au moins de rêver d’un monde meilleur. Le monde associatif reste une cheville ouvrière du changement. Se retrouver se fera aussi à travers les liens associatifs. Ils sont durables. Sans aucun doute, on retrouvera des nouvelles forces vives pour contribuer aux changements de demain. 


Bonne lecture.


Christian Pinon