Le Chiffre du mois


 


Le 1er janvier 2017, 484,6 hectares du territoire stéphanois étaient artificialisés, c’est-à-dire retirés de leur état naturel, forestier ou agricole. Ceci représente 18,2% de la superficie totale de la commune, qui est de 2.664,2 hectares. La surface artificialisée a augmenté de 40,85 hectares entre le 1er janvier 2002 et le 1er janvier 2017, soit un taux d’artificialisation en croissance de 1,5% sur 15 ans, inférieur au taux calculé sur l’ensemble de la province (2,2%), mais supérieur à celui enregistré en Wallonie (1,2%). 382,6 hectares, soit près de 79%, de cet espace artificialisé sont des terrains résidentiels. Il faut signaler que la superficie résidentielle représente les logements, mais également leurs annexes bâties et non bâties. La superficie résidentielle par habitant, soit le nombre de mètres carrés qui, en moyenne, est occupé pour la fonction résidentielle, est de 368,2 M2 à Court-Saint-Etienne, contre 356,0 M2 dans le Brabant wallon et 297,4 M2 en Wallonie. Pour information, en Wallonie, la superficie résidentielle va de 89,4 M2 par habitant à Liège à 775,9 M2 à Lasnes. Le taux d'offre foncière potentielle en zones d'habitat au plan de secteur, soit le rapport entre la superficie des terrains théoriquement (encore) disponibles pour l'urbanisation et l'ensemble des terrains affectés à l'habitat (zones d'habitat et d'habitat à caractère rural) au plan de secteur, était de 26,3% à Court-Saint-Etienne le 1er janvier 2017, contre 23,0% dans le Brabant wallon et 31,1% sur l’ensemble de la Wallonie